Et quand je vous dis le plaisir, visez un peu (vous êtes déjà venus, hein, vous savez qu'il faut cliquer pour agrandir les photos) :
(l'incroyable château de la Mercerie, qui est essentiellement une immense façade, et que deux frères voulaient transformer en Versailles charentais... voir l'article Wikipédia)
(ça, c'est genre, tu arrives à l'école le matin, tu pousses la grille, et tu te retrouves dans une cour surplombant un somptueux paysage)
Et encore, je n'ai pas pris en photo les repas pantagruéliques préparés chaque jour par Josette, ni les petits déjeuners de Madame Jacquet, mais croyez-moi sur parole, nous fûmes très gâtés et nous mettrons deux bons mois à nous en remettre question tour de taille.
Petit éclaircissement. Quand je dis "nous", je veux dire : Florence Cadier, Gilles Aubier, Sigrid Baffert, Cécile Chartre, Luc Turlan, Anne-Marie Cadot-Colin, Yann Fastier et donc, moi-même.
Et c'était chouette, de se rencontrer.
La preuve en image.
(ils sont pénibles ces auteurs en dédicace, on ne voit que leur coiffure)
(ou sinon ils sont tout éclairés d'un halo de lumière et se cachent l'un l'autre)
(y'en a même qui s'amusent avec des couchers de soleil, comme si on était venus dans une médiathèque pour ça)
(d'autres qui... ah non pardon ceux-là n'étaient pas en Charente, fausse manip')
(voilà, c'était eux.)
(Surtout, faut faire avec ceux qui ne valident pas les photos prises sur le vif, c'est d'un pratique, je vous jure, ça oblige à détourer un chat déguisé en lapin, et tout.)
Enfin tout ça pour vous dire que j'étais en bonne compagnie et, n'ayons pas peur de le dire, nous nous sommes plutôt marrés.
Et non seulement j'étais en bonne compagnie question auteurs, mais j'étais en bonne compagnie question organisateurs, et ça, c'est bien aussi.
Je m'arrête donc quelques secondes ici pour prendre le temps de remercier encore mille fois tous les bénévoles du Temps des Livres, et en particulier ceux avec qui j'ai sillonné la région (et pas mal papoté, du coup) : Marc, René et Françoise.
Ne changez rien, vous êtes au top (bon, juste un petit bémol concernant le fait que je n'ai pas croisé Brad Pitt alors qu'on me l'avait promis, mais d'un autre côté, je n'ai pas osé entrer dans le bar où il a bu un coup et où il est peut-être resté, depuis).
Et comme ces quelques jours étaient décidément parfaits, j'ai également fait la rencontre de tout un petit tas de chouettes maîtresses et de chouettes enfants qui avaient, en plus, lu certains de mes livres (c'est fou, le hasard).
Comme par exemple, la classe de Laurence, à Dignac, qui a travaillé sur "Quand je serai grand je serai... Grand Méchant Loup" et sur "Le Grand N'importe Quoi" :
(Tu vois quand on plie le livre ça fait des mélanges d'animaux, le CO-PIN, le CO-SSON, tout ça)
Ou encore la classe de Stéphanie, à Fouquebrune, qui a réalisée des affiches et qui a battu le record de mélange avec trois syllabes :
Et l'incroyable classe de Nathalie, à Magnac (oui nous aussi on a mis du temps à s'y faire à ces noms en AC) qui a fabriqué un énorme livre racontant l'histoire de Madame Mélange-Tout, une drôle de bonne femme qui a mélangé des animaux et ensuite les enfants de la classe !
(Tom est en dessous car lui n'a pas été mélangé et il sort du livre... à la fin... enfin normalement...)
(et c'était bizarre parce qu'on m'avait pourtant dit que la maîtresse s'appelait Nelly. Mais les erreurs, ça arrive, hein.)
(Là, elle montre à ses élèves une illustration du tome 2 de "Je suis un autre" où l'on voit Hadrien, transformé en fille, qui court tout nu...)
A Chadurie (non ne cherchez pas on a essayé les contrepèteries ça ne donne rien), les élèves de Gaëlle ont inventé des Grands N'importe Où :
(Mais où vont-ils chercher tout ça ?)
Et les élèves de Grande Section ont imaginé ce à quoi je ressemblais (et ça fait un peu peur quand même) :
(là, ça va mieux, mais elles ont dû être bien déçues car ce jour-là je ne portais ni ma robe à cœurs ni mon diadème)
Merci également à Valérie et à Laurence pour leur accueil (et à la toute petite Margot de l'école de Bouex, qui a proposé de m'apprendre à dessiner et qui est une championne de Hula-Hoop).
Je parle, je parle mais j'ai oublié l'élément essentiel de Villebois-Lavalette..........
............................................... La cornuelle !!!!
(ouais, quand même)
Et des cornuelles, on en trouve partout :
... sur les murs des écoles, avec incrustation de légos...
... dans la rue, par terre, pour guider les touristes.... et même...
...dans la main de Yann Fastier.
Alors, pour conclure, une cornuelle contre ce beau reportage, ça vaut ou ça vaut pas ?
(N'empêche que c'est bon)
Petit rajout de dernière minute... on me signale que j'ai oublié le sandwich aux noyaux.
Alors ça dans le genre private joke, ça se pose là, mais j'imagine d'ici le grand rire de Florence quand elle verra ça.
(merci à Sigrid !)
Tiens tiens toi aussi t'es une gourmande ?
RépondreSupprimerSuper le reportage ;-)
ça vaut !
RépondreSupprimerÇa donne envie d'y aller tout de suite, à la Capitale de la Cornuelle !!!
RépondreSupprimerJ'ai pas l'temps,
RépondreSupprimerj'suis crevée et
Je ne suis absolument pas concernée
J'ai tout lu le sourire aux lèvres!!!