Merci !

(concernant le choix de cette image, sachez qu'en tapant "merci" sur Google, j'avais le choix entre d'affreux petits chats, d'affreuses petites fées, Ségolène Royal et Florent Pagny, donc, je vous ai épargnés)

Merci à Killian, Mila, Tao, Ryan, Fanny, Océane, Anaïs, Shainez, Yassir, Mathias et les autres d'être venus si nombreux me faire signer leurs exemplaires de mes livres ! Je garderai en souvenir :
- le troupeau de CM1 venus en rangs serrés avec "Une potion monstrueuse" qu'ils avaient lu en classe.
- les paroles d'un de mes anciens élèves, à propos des potions de Papi-Guérit-Tout : "je l'ai lu, celui là, j'adore la coiffure en barbapapa, c'est trop drôle !"
- le visage de Tao si ému à l'idée qu'il ne repartirait pas avec son exemplaire (mais ça s'est bien terminé, on lui en a trouvé un!)
- les parents, qui n'ont pas changé d'un poil alors que mes élèves, eux, en trois ans, m'ont oubliée (mais pas le dragon en boîtes à chaussure que nous avions construit, tout de même), ont changé de dents (ça c'est Alice Brière Haquet qui a remarqué), poussé de 20 cm, sont devenus parfois très très sérieux, ou pas.
- ma rencontre avec Mimy Doynet, et Nathalie Zimmerman, à peu près toujours en train de rire (et traductrice de l'unique bouquin que mon fils daigne lire, et ça, ça n'est pas rien.)
- Alice Brière Haquet, avec qui je n'ai pas encore eu le temps de discuter aussi longuement que je l'aurais voulu mais qui m'a épatée par ses dédicaces étoilées.
- ma rencontre avec Anne-Zoé Vanneau (voisine de salon) et notre papotage incessant qui se prolongera sans doute prochainement.
Je réalise aussi que je n'ai vu ni Christophe Miraucourt ni Béatrice Fontanel... le temps a passé trop vite !
Merci aussi à mes anciens collègues d'être passés me voir, et dommage pour ceux qui (au choix) : avaient un baptême, leur voiture en panne, étaient en week-end loin de là, ont changé de numéro de téléphone et ont accompagné leur enfant à une compét' d'athlétisme. J'aurais bien aimé vous revoir ;-)

Merci enfin à l'autoroute A6 et au périph' qui étaient miraculeusement vides pour un dimanche soir et qui m'ont permis en rentrer dans mes pénates en une seule petite heure.